lundi 18 juillet 2011

Le bonheur est dans MON assiette!

Le bonheur réside dans plusieurs grandes et petites choses.

Et c'est parfois au fond de l'assiette, au bout de ma fourchette, que je le trouve.
Ils y a ces bonheurs que me donnent les découvertes réalisées au resto. Et le plaisir de les recréer, les magnifier, une fois à la maison.

Et il y a ce bonheur de retrouver un goût réconfortant, qui nous rappelle parfois notre enfance...et parfois simplement que délice ne rime pas toujours avec haute gastronomie.
Souvent, je me dis qu'il n'y a pas grand chose de mieux que la bouffe d'une maman. Surtout quand il est question de desserts.

Et pendant que j'écris ces lignes, je résiste de toutes mes forces au morceau de gâteau aux carottes qui repose dans mon frigo. Le précieux est un don de belle-maman, dont les qualités de patissière-maison ont fait le tour de nos cercles d'amis. Son gâteau aux carottes est le meilleur. Point. J'ai beau tester et rester tant au resto que dans les chaumières des amis, je ne trouve pas meilleur. Et ceux qui y ont goûté non plus. Qu'on m'amène un banc d'essai de gâteau aux carottes digne de #L'épicerie, je saurai retrouver le gâteau aux carottes de belle-maman.

Qu'est-ce qui donne du bonheur à vos papilles? Qui est le roi ou la reine qui sait combler vos papilles?

De mon côté, je dois avouer avoir la dent plutôt sucrée.
Au rayon des dessers, il y a des décennies me semble-t-il que je n'ai pas goûté un gateau meringué de ma maman. Ca aussi, ça a des gouts d'enfance (et de sucre!!!).

Sinon des fruits fraîchement cueillis, qui sentent encore le soleil, une pomme croquante... je craque.

jeudi 14 juillet 2011

Jusqu'au bout...et plus encore

Je m'étais juré de ne pas parler de boulot ici.

Parce que peu importe l'anonymat que l'on a (le mien étant TRÈS relatif, alors que je diffuse ces billets sur les réseaux sociaux, sous mon propre nom), ce que l'on dit sur la toile peut toujours nous rattraper.

Je vais toutefois faire une petite entorse à la règle. Pas de noms, pas de titres. Seulement dire à mots couverts que je trouve difficile de côtoyer régulièrement la souffrance au travail.
Je trouve pénible que des personnes, qui souhaitent s'investir et croient profondément dans la mission de leur organisation, souffrent de l'organisation déficiente du travail.

Je crois que l'on ne peut pas vivre continuellement le changement organisationnel. Changer, cela demande beaucoup d'énergie. Et cela finit parfois par brûler, lorsque cela perdure. Mais il y a plus que le changement.

Il y a l'incertitude. Celle de ne JAMAIS savoir ce que demain nous réserve. De ne pas savoir si nous aurons les ressources pour mener à bien ces projets essentiels à l'organisation...et pour la sécurité, dans l'intérêt de centaines, de milliers de personnes.

Et il y a finalement la certitude : celle de savoir qu'on aura moins de ressources que ce qu'on a aujourd'hui. Mais que la tâche sera plus grande.

Et je me demande jusqu'où cela peut aller? On me répondait hier "Jusqu'au bout, j'imagine".

J'imagine aussi. Et c'est en cela que c'est inquiétant.

vendredi 8 juillet 2011

Des franges, des indiens et Justin

Par quoi commencer....
Je vous néglige, soit.
Ce ne sont pourtant pas les idées qui manquent, simplement le goût d'écrire. Je m'assois, je fixe l'écran...Et c'est pas mal ça.
Voici donc un petit épisode en vrac de mon quotidien qui est plus que quotidien.

Depuis les élections de mai dernier, je n'ai pas revu mon député fédéral en chair et en os (non plus que mon député provincial, remarquez, mais ce dernier ne saurait attirer mon intérêt de la même façon que Justin). Après tout, Justin EST JUSTIN.

Après un vide sidéral dans la sphère médiatique, j'ai eu le bonheur d'avoir quelques nouvelles de M. Trudeau dernièrement. D'abord Twitter, sur lequel nous avons appris que JPJ a souligné la St-Jean dans Villeray (yé!)

Et puis, bonheur suprême, le 1er juillet : THE DÉPUTÉ était à la TIVI affublé d'une veste à franges de type "première nation", alors qu'il était présent dans le vieux-port pour la cérémonie d'assermentation des nouveaux citoyens. J'ai figé. Incertaine. Il semble que c'était un classique du paternel Trudeau, cette veste. JPJ est définitivement un homme du peuple, qui s'habille selon les us et coutumes.

J'attends avec impatience la prochaine apparition de mon député.

Sinon bien j'ai hâte aux vacances, mais ça n'irai qu'à l'automne. Je profite de l'été et du début de l'automne pour plancher sur mon mémoire. Le tout sera terminé à l'automne. Entre-temps, l'Homme et moi nous sommes achetés des billets d'avion, pour que le rêve des vacances soit un peu plus concret. On retourne en Asie :) J'aime l'Asie, vous l'ai-je dit?

C'est assez pour aujourd'hui, je retourne mémoiriser.