lundi 30 mai 2011

Santé mentale - La liberté de parler de la dépression

Je suis tombée sur un très beau texte juste avant d'aller dîner.
Il s'agit d'une publication faite par Karine Champagne, sur son blogue personnel.
Le nom vous dit probablement quelque chose : normal, vous l'avez vue à la télévision (TVA) pendant de nombreuses années, alors qu'elle était journaliste ou présentatrice. Mais pas ces dernières semaines / mois.
Sa voix s'est tue, alors que son corps, sa tête, ont dû affronter un mal qui touche pas mal de gens : la dépression.

Et la belle se relève. Doucement, mais elle se relève.

Je vous invite à lire son texte, inspirant...Et touchant de franchise, d'humanité.

http://karinechampagne.blogspot.com/

jeudi 26 mai 2011

Le Malm-aimé - ma relation amour/haine avec Ikea


Qui n’a pas chez lui un meuble Ikea?
Quelle femme (peut-être même quel homme? Nah, j’abuse…) ne vit pas un petit bonheur lorsqu’il reçoit à la maison son tout nouveau catalogue Ikea?

Qui ne rêve pas des lignes épurées du fabricant suédois (je parle des meubles, pas des personnes à la tête de l’entreprise…).

J’aime recevoir mon catalogue Ikea. J’aime même les boulettes suédoises. Et le jus de…comment appellent-ils cela? Ces petites baies sucrées…Peu importe.

*Ah oui, après 8h de sommeil, ça m’est revenu : des lingonnes. J’adore le jus de lingonne, si parfumé…mais je m’égare!

Je HAIS  toutefois ma commode MALM achetée chez Ikea il y a près de trois ans.
Une haine circonstancielle (je me rappelle l’avoir montée alors que j’étais en colère contre l’ex)..mais aussi une haine dûe au matériau (c’est cheap du Ikea, avouons-le…Ca se grafigne tout seul…le fini décolle…). Et aussi parce que je suis peu douée pour monter les meubles. Hep. Faut savoir l’avouer.

Alors s’il y a un volontaire pour fixer le bas de mon Malm-aimé, qu’il se lève maintenant ou qu’il se taise à jamais! Le tiroir passe son temps à tomber et à bloquer.

Et que dire de la biliothèque de l’homme, qui penche un peu plus à chaque jour. Et pourtant, il sait monter les meubles, lui. ;)

Quelle relation vivez-vous avez IKEA?Amour, haine, indifférence?

S.

mercredi 18 mai 2011

Les Zamis

*attention ce billet respire l'amour et les bons sentiments*

Un petit mot sur les amis.
Il y a les grands et les petits.
Il y a ceux que l'on connaît depuis toujours. Ceux que l'on a connu hier et qui, pourtant, son déjà si près de nous. Et il y a ceux de qui ont est un peu moins proches mais qui comptent aussi beaucoup à nos yeux.

Il y a un petit moment de cela, alors que je traversais une période trouble, j'ai décidé que j'allais faire une différence. Faire une différence à la hauteur de mes moyens, parfois petits, parfois plus grands. Mais faire une différence comment, auprès de qui? J'ai décidé que chaque fois que j'en aurais l'occasion, j'essaierais comme je le peux de changer le quotidien des gens que j'aime, de mes amis. Parfois c'est un mot, un verre pris ensemble à refaire le monde, parfois ce sont des contacts échangés, parfois cela change la semaine, le mois...peut-être la vie d'une personne? Qui sait. Savoir que j'ai aidé une personne à accomplir quelque chose, c'est un grand bonheur. Et ça change aussi mon quotidien. Ça change le monde.

J'aime mes amis. J'ai la chance d'être très bien entourée. Certains amis vivent près de moi. D'autres trottent autour du globe. Il y en a à qui je parle sur une base quotidienne. D'autres que je n'ai pas vu depuis une éternité et pourtant, je sais que lorsqu'on se recroisera, ce sera comme hier.

Je n'ai pas un ami semblable, mais tous sont extraordinaires. Je vous aime les amis :)

dimanche 15 mai 2011

Trouver l’Élu…enfin

Je sais.

Je suis en retard.

Pardonnez-moi.



Pendant les 5 semaines qu’a duré la récente campagne électorale, j’ai souvent fait référence à mon député sortant, Justin Trudeau. Cette campagne, je l’ai passée à l’espérer, retenant mon souffle à chaque coin de rue, me disant qu’il serait peut-être là, un tract à la main, voulant me convaincre de lui donner mon vote. Et j’aurais plaisir à argumenter.



Je l’ai cherché dans le métro, le matin.

À l’épicerie, au sortir du boulot.

J’ai cru l’apercevoir dans Parc-Ex, au détour d’un restaurant indien où l’on m’a dit qu’il venait parfois.

Mais point de Justin…



Il était aussi absent qu’au cours des trois dernières années : jamais je ne l’ai vu dans son comté, ou à son local électoral se trouvant à quelques mètres de chez moi. Peut-être ai-je mal regardé? Peut-être ne connais-je pas vraiment le faciès de mon député?



Mais non. Tout le monde sait à quoi ressemble Justin Trudeau. Même si on ne le voit pas.



J’aimerais pouvoir dire que je sais ce que fait mon député concrètement, mais je ne le sais pas. Est-il un député efficace? Probablement. N’empêche, peut-être est-ce l’influence Denis Coderre, que l’on voit partout, mais j’aimerais bien que mon député prenne le temps de venir un peu dans mon coin, serrer quelques mains. C’est ce que je ferais si j’étais une élue : prendre le temps de rencontrer les gens qui m’ont élue (et même ceux qui ne l’ont pas fait, qui sait, cela ferait peut-être pencher la balance lors de la prochaine campagne…)



***

Tout cela pour vous dire que j’ai finalement croisé le chemin de Justin quelques jours avant le jour J. Metro Jarry. Sept heures et des poussières. Il était trop tôt. J’ai vu ses jeunes émules donner des dépliants au haut de l’escalier. Des petits Justin, mais avec 20 ans en moins (l’auréole populaire également). J’ai refusé le dépliant (trop de papier, ça ne sert à rien…) Après tout, c’était Justin que je voulais voir. M’assurer qu’il existait vraiment. Et il existe, je vous rassure. Il se trouvait au bas de l’escalier. J’ai frémi -  quelle chance! Je ne pouvais pas laisser passer cette occasion. Malgré mon empressement à me rendre au boulot ce matin-là (vous savez comme moi que l’on est rarement très en avance pour se rendre au travail )(mais jamais vraiment très en retard dans mon cas, foutu gène de la ponctualité…), j’ai tenu à poser une question à l’Élu : « Je vous ai cherché pendant toute la campagne, où étiez-vous? ».  Eh non, je ne lui ai pas demandé ce qu’il faisait pour la circonscription, ni quelles étaient ses visées politiques (deviendrait-il un jour chez du PLC, ainsi que le fut son père?). J’étais obnubilée par ma recherche du Justin, de l’Élu (parce que c’est ce qu’il est, un élu, non?).



Peut-être l’aboutissement de cette quête fait-il en sorte que j’ai oublié sa réponse. Eh oui. Mais elle n’était pas transcendante. Je crois qu’il ne s’attendait pas à se faire poser cette question. Il a baragouiné quelques chose. Et j'ai oublié.

Si j’étais sa directrice des communications, je le préparerais à TOUT! Héhé. Même les questions du genre : je vous ai cherché partout, où étiez vous? Et je préparerais des réponses qui désarçonnent tout autant que la question ;)


***



Alors voilà qui conclut le chapitre « À la recherche de Justin ».

Mais je continuerai de chercher mes élus au cours des prochains mois/années. Parce que je crois qu’un élu se doit d’être proche de ses électeurs, de connaître leur réalité afin de pouvoir bien les représenter et de les défendre lorsque nécessaire.



***



Ah et j’oubliais : je crois aussi qu’un élu devrait résider dans la circonscription qui l’a élu.












mercredi 11 mai 2011

Sinus, cosinus...Comment maîtriser la chose?

Plus de 10 jours que ça traîne. La gorge qui pique. La tête prise dans un étau. La toux qui s'est mise de la partie. La respiration que se fait plus difficile. Non, ce ne sont pas les symptômes d'un nouvel amour (j'ai déjà l'Homme pour cela) ou d'une allergie printanière. C'est le Rhume, avec une majuscule. Parce qu'il s'impose à mon quotidien. 

Mais je ne me laisserai pas faire, que non! La preuve : malgré le manque de sommeil, je suis plus déterminée que jamais dans l'avancement de mon projet de mémoire. J'ai peut-être la tête dans un étau, mais il faut croire qu'il fait sortir ce qu'il y a de mieux.

Le rhume me donne tout de même de drôles de réparties. Ce matin, c'est sur ces paroles pleines de sagesse que ma journée a débuté :
L'homme, voulant m'aider à me remettre sur pied : "Essaie ce sirop-là, j'avais un chat dans la gorge et ça l'a chassé"
Moi : "Oui mais moi, j'ai un LION dans les BRONCHES"
 Hum. Vous admirez mon sens de la répartie, hein?
Bon, je vais m'enfiler 1 advil rhume et sinus à l'aide d'un thé chai. 
Si vous me cherchez, je suis à côté de la boîte de mouchoirs, la tête dans un livre sur l'analyse de contenu. y-é ;)

lundi 9 mai 2011

Ne pas en profiter

Alors, vous avez passé le weekend le nez dehors, à siroter un verre de rosé sur une terrasse?
Vous débutez la semaine avec les joues rosées et un doux hâle, symbole de l'arrivée de ce printemps tardif que nous avons tous tant attendu?

Je conserve de mon côté mon teint verdâtre.
Si vous vous êtes prélassés au soleil au cours des deux dernières jours, je me suis plutôt laissée choir dans mon lit, à la merci des microbes qui attaquent mes voies respiratoires (et mon niveau d'énergie) depuis près d'une semaine. Je suppose que c'est ma façon à moi de protester contre le résultat des élections. J'espère bientôt en revenir.

Je suis donc malade. Enrhumée. Congestionnée. La voix enrouée. Les oreilles bouchées. Et la peau sous mon nez, à force d'être agressée par les mouchoirs, commence  à se désagréger. Le b-o-n-h-e-u-r. Vive le printemps.

Entre deux séances de reniflements, je me consacre à mon %$?&%?& de mémoire. Constat la semaine dernière: en discutant avec une amie, nous avons constaté que nous appelions toutes deux nos $$&?& mémoires avec des gros mots. Il faut dire que ce processus de recherche et les sacrifices qu'il peut impliquer (ça dépend de chacun... Peut-être certains sacrifient-ils un mouton sur l'hôtel du mémoire. De notre côté, c'est plutôt l'équilibre mental ;) ) sont plutôt douloureux chez moi. Mais ça avance un peu. Enfin.

Allez, j'y vais.

mardi 3 mai 2011

Commotion électorale

J'ai attendu tout la journée avant de venir rédiger ce billet...sur les élections fédérales.
La Snob pourra toutefois confirmer que j'en ai parlé une bonne partie de la journée, tout comme les collègues.

Voilà, j'avais beau avoir vu venir, sondages à l'appui, le raz-de-marée néodémocrate, je ne pouvais - et je voulais pas - imaginer que les conservateurs de Stephen Harper seraient majoritaires. Et pourtant.

Pour la première fois hier, j'ai suivi des élections en ligne, usant beaucoup de Twitter, un peu de Facebook, ainsi que des cartes mises à notre disposition par cyberpresse et Radio-Canada.

Et j'ai constaté que si nous ne partageons pas tous les mêmes opinions politiques, des élections, ça peut aussi unir. L'incompréhension face au reste d'un pays qui est pourtant le notre était, dans mon cercle de connaissances proches,unanime. L'incompréhension, partout.

Des conservateurs....majoritaires?
Je crois que ça va me prendre quelques jours à digérer.
Peut-être même que c'est cela qui a ouvert la porte aux bactéries qui m'ont déclaré la guerre en ce mardi matin.

Je suis commotionnée.
Et j'aimerais bien qu'une jeune femme de mon âge m'explique qu'est-ce qui la pousse à croire profondément qu'un gouvernement conservateur majoritaire est ce qui pouvait arriver de mieux.

Les conservateurs de Stephen Harper ne sont pas ceux de Brian Mulroney.

J'essaie de regarder en avant. Quel futur pour ce pays?

En même temps, je regarde quel pays ferait une bonne terre d'accueil.

Très heurtée dans ma valeurs je suis.

lundi 2 mai 2011

Les plus beaux souliers jaunes…du MONDE!

J’aurais voulu vous mettre une photo pour que vous compreniez l’amour (!!!) que je porte à ma nouvelle paire de souliers, des plateformes jaunes à bout ouvert Ralph Lauren (merci, Century 21).

Eh bien tiens, voilà, une photo trouvée en ligne vous donne un bon aperçu de la chose.

Si j’ai de si jolis souliers (ne trouvez-vous pas?), c’est grâce à une petite escapade à New York effectuée le weekend dernier (en fait celui qui se termine tout juste!).

J’avais écrit dans mes premiers billets que je ne suis pas une « Fashionista ». C’est vrai. J’ai toutefois un IMMENSE faible pour les souliers et bottes, faible que mon budget limité (maîtrise oblige) ne me permet malheureusement pas d’assouvir.

J’ai toutefois profité de cette escapade à NYC pour me « grayer » de deux paires « essentielles »… Les fameux souliers jaunes constituant la paire estivale…Et de petites ballerines en cuir noir (Mark Jacobs, je crois?) qui serviront au quotidien. Chic, simple et confortable. J’aurais pu acheter au moins 3 autres paires jugées « essentielles »…mais bon, il faut parfois faire preuve de modération. Gr.

***

Trève de placotage « shopping ». Juste pour dire que j’ADORE NYC. J’aime l’énergie de cette ville et cet amour grandit un peu plus à chaque voyage là-bas. J’aime aussi beaucoup les soirées qu’on y passe: Rooftop bar sur la 5th avenue un soir, puis show de Burlesque le lendemain dans un endroit un peu trash… Voilà qui change de la routine!

***

C’est jour d’élections…Irez-vous voter? L’avez-vous déjà fait?

Faites-vous un « party électoral »?

On en reparlera ici dans quelques temps (heures ou jours, je ne sais pas…Cela dépend de la maîtrise!).