lundi 9 mai 2011

Ne pas en profiter

Alors, vous avez passé le weekend le nez dehors, à siroter un verre de rosé sur une terrasse?
Vous débutez la semaine avec les joues rosées et un doux hâle, symbole de l'arrivée de ce printemps tardif que nous avons tous tant attendu?

Je conserve de mon côté mon teint verdâtre.
Si vous vous êtes prélassés au soleil au cours des deux dernières jours, je me suis plutôt laissée choir dans mon lit, à la merci des microbes qui attaquent mes voies respiratoires (et mon niveau d'énergie) depuis près d'une semaine. Je suppose que c'est ma façon à moi de protester contre le résultat des élections. J'espère bientôt en revenir.

Je suis donc malade. Enrhumée. Congestionnée. La voix enrouée. Les oreilles bouchées. Et la peau sous mon nez, à force d'être agressée par les mouchoirs, commence  à se désagréger. Le b-o-n-h-e-u-r. Vive le printemps.

Entre deux séances de reniflements, je me consacre à mon %$?&%?& de mémoire. Constat la semaine dernière: en discutant avec une amie, nous avons constaté que nous appelions toutes deux nos $$&?& mémoires avec des gros mots. Il faut dire que ce processus de recherche et les sacrifices qu'il peut impliquer (ça dépend de chacun... Peut-être certains sacrifient-ils un mouton sur l'hôtel du mémoire. De notre côté, c'est plutôt l'équilibre mental ;) ) sont plutôt douloureux chez moi. Mais ça avance un peu. Enfin.

Allez, j'y vais.

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